L'étrange génie de Charlie Spiegel (2019)
Deux histoires, deux époques, un seul récit ! Charlie Spiegel est une femme, adulte, à l’âge indéterminé, qui après avoir vécu des épisodes de vie traumatisants, se réfugie dans le grenier d’un vieux monastère dont elle aurait hérité. Elle y découvre une lampe à huile gigantesque et dans celle-ci, bien entendu, un prévisible génie exauçant trois vœux. La comparaison avec Aladin, et autres dérivés, s’arrête là car deux problèmes majeurs s’imposent. D’abord, le génie en question n’est pas un génie oriental authentique mais un bouffon royal (le bouffon de Charles Quint), Papé Theun, qui a été enfermé dans la lampe en 1540. Il peut exaucer des vœux mais en maîtrise mal les procédures. Le deuxième problème majeur est que Charlie Spiegel est atteinte d’indécision pathologique. En bref, elle ne peut choisir. Avoir le pouvoir de choisir trois vœux est pour Charlie davantage une malédiction qu’un miracle. Et ses premiers vœux le montrent assez clairement.
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Ça commence... (2025)
Juliette est étudiante en psychologie, elle vit seule avec sa grand-mère Maryse. Mais celle-ci présente progressivement des troubles cognitifs qui évoque une entrée dans la maladie d'Alzheimer. En parallèle de ce fil rouge, la pièce interroge cette maladie qui fait aussi peur aux français. D'où vient cette maladie d'Alzheimer ? Est-elle récente ? S'agit-il d'une maladie ou d'une construction sociale ? Plus généralement, la pièce nous amène à reconsidérer l'accompagnement du grand âge en replaçant l'humain au premier plan.